Já que estou numa de poliglota, depois da versão inglesa da Canção da Estrada Larga, de Walt Whitman, uma notícia, em francês, para fazer bem ao ego.Saiu no dia 2 no La Presse da Tunísia:
"Katia Guerreiro chante le fado au TVT.La femme et les guitares
Le spectacle de fado, genre de chant portugais, produit le samedi 30 octobre au TVT, a drainé beaucoup de monde, amateurs de musique en général, habitués du festival et amoureux du monde lusophone.
La vedette de la soirée, Katia Guerreiro, a commencé son spectacle avec un léger retard, somme toute excusable (problème technique, dit-elle). Avec beaucoup de sens du partage (élément cardinal dans le chant fado), elle a présenté ses chansons qui tournent forcément autour de l’amour. L’Amour avec un grand A, à la fois charnel et immortel, elle déclame, chante les amours impossibles, les tristesses du départ et du manque, elle le fait passionnément, la tête légèrement inclinée vers l’arrière, les yeux baissés, les mains derrière le dos, se dandinant langoureusement, toute entière vouée au sens des paroles de ses chansons dont quelques-unes sont composées par ses partenaires musiciens à la guitare espagnole et traditionnelle. Avec elle, la femme pourrait ressembler à une guitare, à des boucles d’oreilles ou à une jupe que l’on oublie lors d’un rendez-vous galant.
Elle chante non pas comme on respire, ses phrases s’enchaînent en cascade, tristes, brisant l’air et bien des cœurs, Katia Guerreiro affirme que le fado connaît actuellement une évolution vers l’optimisme et la joie de vivre. Faisons en sorte de la croire. Triste ou gai, le fado qu’elle nous a servi, ce soir-là, nous a simplement éblouis.
H.H.
Esta e outras notícias daquele país podem ser consultadas no site
http://www.lapresse.tn/archives/archives021104/culture/lafemme.html
Ecos do Encontro temático em Campo Maior
Há 4 dias
Sem comentários:
Enviar um comentário